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Après avoir reçu une menace d'attentat, Mukesh Ambani, patron de Reliance Industries, va bénéficier de la même sécurité rapprochée que les prinicipaux hommes politiques indiens. Une décision qui fait grincer des dents dans les rangs des militants anticorrution.

Pas moins de 28 policiers pour assurer la protection du patron de Reliance Industries. Le gouvernement indien va fournir l'homme le plus riche du pays, la tête du groupe énergétique Reliance Industries, une protection permanente assurée par des commandos armés, ont rapporté lundi plusieurs médias locaux.

Le ministère de l'Intérieur a donné son feu vert cette initiative deux mois après que ce magnat industriel, Mukesh Ambani, a reçu une lettre menaçant d'attenter sa vie, selon le quotidien Times of India. Selon des informations de presse, cette lettre remise en mains propres son bureau de Bombay émanerait du groupuscule islamiste des Moudjahidine Indiens (IM). Citant une source sous le couvert de l'anonymat, le Times of India rapporte que le ministre de l'Intérieur, Sushilkumar Shinde, a donné son accord pour attribuer la même sécurité rapprochée M. Ambani que celle dont bénéficient les hommes politiques de premier plan en Inde.

Mukesh Ambani ne peut-il s'offrir des gardes de sécurité privés?

L'homme d'affaires sera désormais accompagné dans tous ses déplacements par un convoi de véhicules avec leur bord des commandos munis d'armes sophistiquées, selon l'agence Press Trust of India (PTI). La force de réserve de la police a affecté 28 de ses membres sa protection, selon PTI. Un porte-parole de Reliance s'est refusé tout commentaire tandis que la police de Bombay n'était pas joignable dans l'immédiat.

Cette décision a fait grincer des dents certains observateurs. "Un homme aussi riche ne peut se payer des gardes de sécurité privés", a ainsi ironisé un

ATTENTAT - Selon le FBI, qui craint de ne jamais pouvoir le faire parler...

Le suspect encore en vie du double attentat commis le 15 avril lors du marathon de Boston restait dans un état grave dimanche, a annoncé le FBI dans un communiqué.

>> Qui est Djokhar Tsarnaev? Lire son portrait par ici

Dimanche en milieu de journée, la police fédérale n'avait toujours pas pu interroger le jeune suspect, Djokhar Tsarnaev, 19 ans, a indiqué Ed Davis, commissaire divisionnaire, sur la chaîne de télévision CBS.

Incapable de parler

La procureure fédérale pour la région de Boston, Carmen Ortiz, est en train d'étudier les motifs d'une éventuelle inculpation de Djokhar Tsarnaev, a précisé le commissaire Davis. De nouvelles informations devraient être publiées dans la journée, a-t-il ajouté.

Le maire de Boston, Tom Menino, a pour sa part souligné que le suspect pourrait en réalité ne jamais être interrogé. Djokhar Tsarnaev est dans un état «très grave», a-t-il dit sur la chaîne de télévision ABC. Il est incapable de parler «et nous ne savons pas si nous serons jamais capable d'interroger l'individu», a déclaré le maire sans autre précision. Le jeune homme a été capturé vendredi soir au terme d'une chasse l'homme de 24 heures.

Au lendemain d'une nouvelle mobilisation des anti-mariage pour tous, une nouvelle querelle autour du nombre de participants se profile, lundi 22 avril. 45.000 opposants au mariage homosexuel ont défilé dimanche Paris, selon les estimations de la police, tandis que les organisateurs de La Manif pour tous avançaient le chiffre de 270.000 manifestants.

Echauffourées

Après une dernière Marseillaise entonnée par la foule, les organisateurs ont invité les manifestants quitter les lieux "dans le calme" et " rester digne jusqu'au bout". "A mardi" ont-ils lancé, en faisant allusion la manifestation qui se tiendra le jour du vote solennel du projet de loi par l'Assemblée nationale. Chants, danses, appels la "fête", familles et séniors : tout a été fait pour donner une allure bon enfant au défilé parti de la place Denfert-Rochereau pour rejoindre l'esplanade des Invalides. Le cortège s'est dispersé vers 18h45 sans aucun incident, après une semaine où plusieurs rassemblements des anti-mariage ont été émaillés d'échauffourées avec les forces de l'ordre.

Dans la soirée, des échauffourées ont éclaté aux Invalides entre plusieurs dizaines de jeunes opposants et les forces de l'ordre qui ont procédé des interpellations. Impassibles quelques mètres de ce face face, d'autres militants poursuivaient une "veillée" la lueur de bougies.

"Un chiffre mensonger"

Cette manifestation était régionale, la différence de celle du 24 mars qui était nationale et qui avait réuni 300.000 manifestants selon la police, 1,4 million selon les organisateurs. Ce dimanche aucun déplacement depuis la province n'avait été (...)

C'est aujourd'hui que le nouveau single de Jenifer est envoyé aux radios. Le titre, une reprise de la chanson "Poupée de cire, poupée de son", devance la sortie le 3 juin de l'album "Ma déclaration", hommage France Gall et son répertoire. Un disque reprenant notamment "Évidemment", "Ella elle l'a" et "Résiste", qui sera porté sur scène l'occasion d'une nouvelle tournée que Jenifer vient d'annoncer sur la radio NRJ.

On le sait depuis quelques semaines, Jenifer est en studio pour enregistrer son sixième album, qui, pour la première fois en un peu plus de dix ans de carrière, sera uniquement composé de reprises. La chanteuse a décidé de rendre hommage France Gall et son répertoire en proposant un disque reprenant ses standards comme "Évidemment", "Ella elle l'a", "Résiste" et "Poupée de cire, poupée de son", envoyé ce matin-même aux radios comme premier extrait. La réalisation du projet a encore une fois été confiée Silvio Lisbonne du duo Mutine. C'est déj lui qui avait travaillé sur le dernier opus de Jenifer, "L'amour et moi", sorti au mois de septembre 2012.




Invitée ce matin dans l'émission le "6/9" de NRJ, la chanteuse s'est confiée sur ce projet dont la sortie est prévue le 3 juin. Jenifer a révélé quelques-uns des titres qu'elle avait décidé de reprendre pour son nouvel album, qui ne s'appellera finalement pas "I Love France", contrairement ce qui avait été indiqué dans un teaser dévoilé vendredi dernier, mais "Ma déclaration". On peut donc s'attendre retrouver la chanson "La déclaration d'amour" sur ce nouvel opus, même si Jenifer a préféré révéler ce matin qu'elle avait prévu deux duos sur le titre "Diego libre dans sa tête", enregistré avec un groupe corse, et "Ça balance pas mal Paris", avec Christophe Willem. (...)

Ismaël Patu-Huukena a quitté Bayonne dimanche avec un ami au bord de sa pirogue. Son but: rallier en quatre mois les îles Marquises et "porter un message de paix travers les océans".

Il a quitté Bayonne dimanche soir bord de sa pirogue. Ismaël Patu-Huukena, un Polynésien de 41 ans, s'est lancé un défi original: rejoindre les îles Marquises, ses îles natales, bord de cette embarcation peu conventionnelle. Une traversée peine croyable qu'il ambitionne de faire en quatre mois, accompagné d'un ami surfeur.

"Le département sécurité des Affaires maritimes m'a donné le feu vert. Je pars d'une minute l'autre, en fonction de la météo", assurait il y a quelques jours Ismaël Patu-Huukena, un homme au sourire tranquille taillé comme un rugbyman de deuxième ligne, vêtu d'une tunique aux couleurs polynésiennes. Jusqu' la dernière minute, on ignorait s'ils partiraient. Finalement ils l'ont fait vers 17h30 dimanche en empruntant le canal de l'Adour.

"Je suis calme, zen, notre première étape sera Madère", a indiqué par téléphone l'aventurier après avoir prié et invoqué les dieux pour qu'ils l'accompagnent. S'il réussit, l'Atlantique, puis le Pacifique, après la traversée du canal de Panama, l'attendent : quatre mois passant par l'Espagne, le Portugal, la Guadeloupe, le Venezuela, la Colombie, le Panama, l'archipel des Galapagos (Equateur) puis 25 longues journées pour atteindre les Marquises, 22.700 km de Bayonne. Et ils ne donneront des nouvelles leurs amis que lors des escales.

"S'il doit lui arriver quelque chose, j'espère que cela sera proximité des côtes espagnoles et portugaises, car une fois éloigné des côtes, j'ai peur pour eux", dit l'un de leurs parrains, l'entrepreneur Jean-Louis Brettes, gérant de la société de composites Polycontact, manifestement angoissé.

Cet ancien agent de sécurité ne connaît pas la mer

Mais, après 18 ans loin de chez lui, Ismaël lui est déterminé : "Je rentre en pirogue comme mes ancêtres, je (...)

A cinq matchs du terme de la saison, le titre de championne peut plus, sauf catastrophe, échapper aux Parisiens.

Si le PSG n'aime pas l'Evian, il semble beaucoup plus apprécier le champagne. Les bouteilles ne sont pas encore débouchées mais plus que jamais, il les garde au frais et il a bien raison. Le compte rebours s'égrène semaine après semaine, journée après journée, et le constat demeure le même: en maintenant neuf points d'avance sur Marseille et onze sur Lyon seulement cinq étapes du terme de la saison de Ligue 1, le PSG sera bien le nouveau champion de France.

Il faudrait désormais le faire exprès pour connaître une autre issue ou perdre plus de trois rencontres en cinq matchs pour un club qui jusque-l a connu cinq défaites en 33 journées. On peut prendre le problème sous n'importe quel angle, il apporte toujours la même conclusion, savoureuse pour les supporteurs du PSG.

C'est une victoire sur Nice qui le rapproche ce matin plus sûrement du troisième titre de champion de sa courte existence. Ce n'est ni la plus moche ni la plus belle. Une entame canon et un but précore de Ménez (10e) a scellé l'affaire malgré quelques sorties de piste au coeur de la première période. L'épaisseur du second acte, abouti, rythmé et riche en occasions, donnera sa prestation des allures très convaincantes, faisant écho au voeu de Carlo Ancelotti: gagner le titre et le plus vite possible.

Finir en jouant bien donnera plus d’éclat au titre

Désormais, les bouchons ne peuvent sauter au plus tôt que lors d'un PSG - Valenciennes programmé le 5 mai. Quatre jours après son élimination assez scandaleuse Evian en quart de finale de la Coupe de France, Paris a joué sur son orgueil de futur champion pour remettre sa saison sur des rails plus conquérants et conformes aux attentes.

Un grand classique. Mais il ne s'est pas contenté de cela. Il a également produit beaucoup de jeu, un soir où il s'est montré généreux de ses mouvements (...)

Le centre gauche, qui refusait depuis deux mois de former une majorité avec le parti de Silvio Berlusconi, a dû se faire une raison.

Rome,

Un parti démocrate décapité, un président de la République de bientôt 88 ans qui accepte de prolonger son séjour au Quirinal «par sens de responsabilité envers la nation», le spectre d'élections anticipées en juin qui semble s'éloigner et Silvio Berlusconi qui jubile, tant il est clair qu'il est le vainqueur de son bras de fer avec la gauche: tout cela s'est déroulé en un week-end de fièvre politique comme l'Italie en a rarement connu.

En acceptant d'assumer un second mandat au Quirinal, le président Giorgio Napolitano a offert un instant de répit un pays qui, faute de majorité claire au Parlement, s'enfonce depuis deux mois dans une crise politique sans issue. Aucun autre candidat ne semblait en mesure de rassembler sur son nom une majorité des suffrages. Lui a reçu samedi soir le soutien de 738 des 1007 grands électeurs. Presque un plébiscite, que le Corriere della Sera a qualifié de «meilleure solution pour sauver le pays de la pire des crises».

Cabinet politique et temporaire

Ce n'est certes pas par ambition personnelle que le vieux président a accepté de rester au Quirinal. Mais Napolitano, dont le septennat allait expirer le 15 mai prochain, a pris la mesure de la crise. Pressé samedi matin par les leaders des grandes formations - du Parti démocrate de Pier Luigi Bersani au PDL de Silvio Berlusconi, et de la Ligue du Nord au mouvement de Mario Monti - de sauver la République en restant son poste, l'ancien communiste Giorgio Napolitano, l'homme politique le plus respecté des Italiens, a accepté «d'assumer pleinement ses responsabilités envers le pays» et enjoint toutes les forces politiques d'«en faire autant». Autrement dit, de mettre un terme leurs discordes pour sortir l'Italie de la crise.

Giorgio Napolitano doit présenter dès lundi au Parlement les réformes qu'il compte mettre en œuvre. Un gouvernement de (...)